-Une Hélène bien fraiche et souriante.
-Un polo-rigolo et communicatif.
-Le guidos avec des idées sur tout et surtout des idées !
Le projet sera de réaliser 2 grandes voies sur le versant Gaulois de Gavarnie et 2 autres sur le versant Ibérique...Le séjour commence mal, nous ratons de peu la "soirée saucisses" organisée au village d'Esterre dans le pays toy. Paulo me rassure, les saucisses, on les fera au bout de la corde dans les surplombs !!
Hélène répète les mouvements du passage clef. |
Polo cherche le bout de la corde. |
Nous quittons le col des tentes avec 4 jours d'autonomie, le bivouac et le matos pour grimper. Direction le pic des sarradets pour une voie récente : "la brèche de Ronaldo". 320 mts d'un beau cailloux sculpté. Nous ne résistons pas à l'idée de rentrer par les rappels de "mes nuits sans elle" et donc de grimper les deux dernières longueurs.
A toi l'honneur mon Polo |
Quelle grâce ! |
is this love, is this love... |
Passage de la brèche... |
En attendant le soleil, on apprend à poser des friends. |
Pas simple cette longueur mon davidoff ? |
ça penche un peu non ? |
Ah, ça va mieux. |
Les premiers pas de "merci Delgado" |
Le dièdre de sortie. |
petite prise je t'attrape. |
Apéro... |
Il faut boire à la source. |
Comme un enfant de bloc en bloc. |
Les "clavijas" du Cotatuero. |
la proue...c'est la qu'on va ! |
C'est la qu'on va aussi |
ce topo s'autodétruira dans 10 secondes. |
Sous le toit. |
Polo ne jouera plus du piano debout ! |
Ouhaaa..quelle allonge ! |
C'est ça, fait l'malin toi ! |
Dans le lointain de cette dernière longueur, un écho retentira " heu...prends moi pas mou bordel !!!" la raideur déconcertante des toits d'Ordésa en a calmé plus d'un. Que polo se rassure, il a vraiment bien grimpé cette voie, Hélène aussi d'ailleurs mais chez les filles...c'est naturel ! Après une retour facile à notre bivouac, nous refaisons les sacs pour passer la Brèche et se rapprocher du dernier volet de la "quadrilogie".
Quelques valises sous les yeux trainent encore ce matin devant notre café pris au refuge. les hélicos tournent en vue des travaux du nouveau refuge. Nous descendons l'échelle des sarradets afin d'abandonner nos sacs pour ne garder que de quoi grimper et grignoter. la "castagné-vergez" est une très belle voie audacieuse pour l'époque (1942) 300 mètres variés de dièdres et dalles à petites prises dans une ambiance grandiose, entourés de cascade que nous étions ouiii !!
hé voila...c'est fini !! mais non ! Tout est gravé dans notre disque dur. J'ai le plaisir immense de partager cela avec vous par le biais de l'écran, Paul et Hélène se souviendrons aussi de la simplicité de ce modeste enchainement ou se mêle la randonnée, le bivouac, les paysages enchantés de ce bout de Pyrénées, les longueurs magnifiques, les rires de la cordée, les silences aussi. @+...Tonton David.
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